Un coup de chance

Dans le fond de l'étang, là où il est plus difficile d'y aller, j'ai eu le plaisir de prendre en photo un râle d'eau.

Une belle occasion

Le temps maussade à l'heure du déjeuner ont joué en ma faveur.
Nul mouvement de promeneurs, d'enfants, de joggeurs ou de propriétaires de chiens sur le chemin.
J'ai pu tout à loisir observer le râle d'eau, fixer sa silhouette, son plumage, le port de sa queue, la couleur de son bec, la forme de ses pattes et son comportement.
Il bouge sans cesse mais sans précipitation, se faufilant entre les roseaux, les branchages, disparaissant parfois dans les touffes de végétation mais réapparaissant plus loin, tout occupé qu'il est à rechercher sa nourriture.
Il plonge son long bec dans l'eau, retourne une brindille pour avaler quelque ver, mollusque, petit poisson ou végétaux.
Je me suis posé la question et j'ai trouvé une réponse, c'est exact, cet oiseau des zones humides est un solitaire, quel merveilleux challenge se serait de le photographier en couple et plus encore d'apercevoir des poussins tout noirs....qui sait, au printemps peut-être?

Un oiseau farouche

Le râle d'eau se laisse peu voir, il vit plutôt caché dans la végétation où il se faufile rapidement dès qu'il sent une présence.
Pourtant la faim le pousse à chercher vers, racines, crevettes, racines et végétaux et pour cela il faut bien passer à découvert.